ARTISTES
PHILIPPE FAVIER
Vitrail Lithophanie – 1997
N° INVENTAIRE |
2004.02 |
ARTISTE |
FAVIER Philippe |
DATE |
2004 |
TYPE D’OEUVRE |
PROTOTYPE |
NOM DE L’OEUVRE |
Vitrail en lithophanie de porcelaine |
DIMENSIONS Hauteur x largeur x profondeur en cm ou hauteur x diamètre |
La pièce : H : 225 – L : 90 – l : 80 Caisse en bois de la baie : L:226 – l:60 – H:26 Caisse en bois du socle : L:138 – l:89 – H:43 |
POIDS |
Inconnu |
MATÉRIAUX |
Lithophanie de porcelaine et métal |
DESCRIPTION DE L’OBJET |
Trois baies et une imposte, plaques en lithophanie de porcelaine retenues par des éléments en porcelaine extrudée. Le vitrail est placé dans un double vitrage encadré par une structure métallique blanche. En 1997, à la suite d’une commande publique du Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Limousin, Philippe Favier développe, en collaboration avec le CRAFT, le projet de vitraux en porcelaine pour l’église de Jabreilles-les-Bordes, Haute-Vienne (87). Les baies sont installées en 2004.
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PRÊT |
 🟢 Disponible |
Boomerang – 2003
N° INVENTAIRE |
2003.04 |
ARTISTE |
FAVIER Philippe |
DATE |
2003-2006 |
TYPE D’OEUVRE |
EPDA |
NOM DE L’OEUVRE |
BOOMERANG |
DIMENSIONS |
14 x 36 cm |
POIDS |
0,1 kg par élément |
MATÉRIAUX |
Biscuit de porcelaine extra-blanche |
DESCRIPTION DE L’OBJET |
Boomerang en porcelaine biscuit, petits personnages gravés sur le dessus de la pièce. Après le vitrail en lithophage de porcelaine mis au point au CRAFT, Philippe Favier a imaginé un «boomerang», œuvre très légère en porcelaine gravée. La première pièce était destinée à être lancée lors du vernissage d’une exposition de l’artiste au musée d’Art contemporain de Lyon en 2004. |
PRÊT |
 🟢 Disponible |
Né en 1957 (France), vit et travaille à Saint-Etienne (42). Apparu sur la scène artistique au début des années 1980, Philippe Favier développe un univers qui emprunte au quotidien aussi bien qu’au très vaste répertoire de l’histoire de l’art. Il alterne l’emploi de supports tantôt transparents, comme le verre, tantôt opaques, comme l’ardoise ou le carton, et décline une thématique qui oscille entre les débordements narratifs et l’extrême retenue, voire le presque rien.